Si vous aimez les secrets de famille, lisez « 𝕃𝕒 𝕓𝕖𝕝𝕝𝕖-𝕞è𝕣𝕖 » 𝕕𝕖 𝕊𝕒𝕝𝕝𝕪 ℍ𝕖𝕡𝕨𝕠𝕣𝕥𝕙.
Rien à voir avec l’histoire banale de relations toxiques belle-mere/belle-fille comme le suggère le titre…
Le synopsis : Avocate appréciée pour son dévouement, Diana se bat pour améliorer le sort des réfugiés, mais elle se montre froide et distante, sinon blessante, envers les siens. Lorsque Lucy rencontre sa belle-mère Diana, ce ne fut guère chaleureux malgré les efforts de Lucy pour s’attirer ses bonnes grâces. Dix ans plus tard, Diana est retrouvée morte chez elle…
Ce n’est pas à proprement parler un thriller ; c’est plutôt un drame familial. Un roman choral qui alterne la voix narrative de Lucy et de Diana, alternant passé et présent. Dès les premières pages, je me suis attachée à Diana..
Ce livre est une très belle surprise. Un roman psychologique avec rebondissements.
Il est question de relations familiales, maternité, fertilité, transmissions, deuil, blessures, désaccords, incompréhension, non-dits, argent et de ne pas se fier aux apparences… J’ai aimé aussi le thème des réfugiés déclassés…
Ce livre m’a beaucoup touchée, j’ai eu de la peine pour certains personnages
Très bon moment de lecture. Un coup de coeur.
Un regret ? La quatrième de couverture qui en raconte trop ..
Qui est Sally Hepworth ?
Sally Hepworth est une écrivaine australienne.
Après avoir vécu au Canada, au Royaume-Uni et à Singapour, Sally Hepworth s’est installée avec son mari et leurs trois enfants à Melbourne, en Australie, pour se consacrer à l’écriture. Elle est l’auteure de six suspenses psychologiques traduits dans huit pays, dont Mères et filles (Belfond, 2015)
EAN : 9782809828863 – 360 pages – L’ARCHIPEL (20/08/2020)