J’ai refais mon stock de livre. J’aime en avoir quelques uns en attente, une belle pile de livres à lire.
Alix de Saint-André – Garde tes larmes pour plus tard
J’ai une grande admiration pour Françoise Giroud. J’ai aimé la biographie par Laure Adler, qui montre la face lumineuse de Giroud et manque parfois un peu de rigueur. Je me suis lancée dans celle d’Alix de Saint-André, attirée par la quatrième de couverture.
Présentation de l’éditeur
Chargée d’interviewer Françoise Giroud pour le magazine Elle, Alix de Saint-André était bien décidée à lui rentrer dans le chou. Cette figure tutélaire du journalisme, fondatrice de L’Express, et ancienne secrétaire d’État, promue grande conscience nationale, lui courait sur les nerfs. Mais elle tombe sur une vieille dame en pleine dépression qui lui fait du thé et la bouleverse. Elle range son revolver. Elles deviennent amies. Après la mort de Françoise, Alix envoie à sa fille, Caroline Eliacheff, une lettre : elles ne cesseront plus de s’écrire. Car, très vite, une première biographie vitriole Françoise, et Alix a envie de ressortir son flingue. Signant Sherlock, elle entraîne alors Caroline Watson dans une grande enquête à la recherche de sa mère. Ce livre raconte les aventures de nos deux détectives, et résout quelques-uns des vrais mystères de Françoise Giroud.
Les taches du léopard, le dernier livre de Françoise Giroud
Une critique ayant écrit : » Malgré une écriture conventionnelle qui frôle parfois le style du roman de gare.. », m’avait fait reculer. Etant dans le cycle Giroud, je me lance. Le sujet est toujours d’actualité : que signifie aujourd’hui être juif ?
L’empreinte de toute chose de Elizabeth Gilbert
J’ai adoré Mange, prie, aime – je n’ai pas aimé le film – je l »ai relu plusieurs fois. Ce n’était pas l’écriture, ni le style qui avait retenu mon attention. Mais j’hésitais à lire autre chose que son expérience existentielle si on peut la nommer ainsi. Et j’ai découvert sur le site L’IVREDELIRE, une jolie critique de ce pavé de 612 pages. J’ai donc acheté le livre et vais m’y plonger.
Ce que dit l’éditeur sur L’empreinte de toute chose
Alma Whittaker naît avec le XIXe siècle, à Philadelphie, d’un père anglais qui a fait fortune dans le commerce du quinquina et d’une mère érudite d’origine hollandaise. A leurs côtés et au contact des éminents chercheurs qui gravitent autour d’eux, Alma acquiert une intelligence éclectique et la passion de la botanique. Elle grandit animée d’une soif d’apprendre sans pareille, qui la poussera à explorer le vaste monde, la nature, la société dans laquelle elle vit et son propre corps – de l’infiniment grand à l’infiniment petit. L’auteur du best-seller Mange, prie, aime nous raconte ici, des bas-fonds de Londres en passant par Tahiti ou les cimes des Andes, le siècle kaléidoscopique qui voit jaillir l’esprit des Lumières. Sa plume est vive, insolente, savante et non dénuée de romantisme : à l’image de son héroïne.
A suivre. Actualisé le 9 février 2016 : ce que j’en dis
Ce que je sais de Vera Candida, de Véronique Ovaldé
Une saga aux accents sud-américains qui fait la part belle aux femmes : Rose Bustamente, prostituée puis pêcheuse de poissons volants, sa fille Violette, jolie personne qu’un amour immodéré du ratafia perdra, sa petite-fille Vera Candida, au sourire rare et au regard hypnotique, et enfin son arrière-petite-fille Monica Rose. Trois femmes d’une même lignée semblant promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père
Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur de Harper Lee
J’ai envie de relire ce classique de la littérature américaine, interpellée par la découverte d’un second livre. Un regard d’enfance sur la cruauté du monde. Ce roman est une sorte de roman initiatique est sorti dans les années 60, en pleine bataille pour les droits des populations noires américaines et conte des événements que l’auteur situe à la fin des années trente. Un roman incontournable que je n’ai jamais lu. Je n’aime pas trop les éditions Livre de poche, mais je n’ai trouvé que cette édition.
La guerre d’hiver de Philip Teir
Je me suis laissée tentée par la sélection de mon libraire avec ce premier roman de Philippe Teir.
Roman conjugal .. annotation qui m’effraie un tantinet. Avis du professionnel : Le sous titre de Philip Teir est un piège accrocheur qui laisse supposer entrer dans une vie conjugale en guerre. Non, affirme-t-il. Nous entrons dans l’histoire réaliste et contemporaine d’une famille citadine d’Helsinki, au niveau intellectuel plutôt haut de gamme.
Entendons plutôt, la famille en crise ? Soit, lisons.
Avez-vous lu un de ces livres ? Qu’en dites-vous ?
Actualisation : la guerre d’hiver de Teir
Le seul que je connaisse c’est « Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur » de Harper Lee. D’ailleurs j’ai écrit une chronique dans mon blog. (http://bulledemanou.over-blog.com/article-ne-tirez-pas-sur-l-oiseau-moqueur-de-harper-lee-104389506.html) si tu veux la lire ! J’avais adoré ce livre car c’est la petite fille de 5 ans qui parle et tout est expliqué de son propre point de vue d’enfant.
Au plaisir de te relire…
manou
merci Manou pour ton avis éclairé. J’irai lire ta chronique lorsque j’aurais lu le livre.. ainsi nous pourrons confronter nos avis. A bientôt.