Rivarol écrit : « La paresse ne peut se passer de travail ; on ne se repose voluptueusement que si l’on a pu travailler » Of course !
L’humeur paresseuse
Le froid, le manque de soleil, la morosité ambiante.. Que de bons arguments pour me rendre paresseuse et me faire apprécier de rester chez moi, bien au chaud, devant la cheminée ou dans mon salon zen avec un super bouquin, écouter de la musique … C’est un excellent moyen de me déstresser, me détendre, me chouchouter, me faire choyer ou choyer et goûter aux joies oubliées de la paresse.. « Comme un lièvre sans os qui dort dans un pâté..» comme dirait Marc-Antoine Girard, sieur de Saint-Amant.
Après tout si l’ours, la marmotte – non, pas celle avec son papier d’alu – le raton-laveur et autres hibernants ralentissent leur métabolisme, pourquoi n’aurais-je pas le droit à mon moment de cocooning, pour recharger mes batteries et appréhender positivement la période des fêtes ?
Le cocooning, la recherche d’un confort douillet chez soi
Être bien chez soi et centré sur soi. En famille, avec son amoureux ou avec soi.. Le tout est de se couper du monde et de ne penser qu’à soi ou qu’à nous, pour s’offrir détente et plaisir.
Une once de narcissisme, une pincée d’égocentrisme, une mesure d’indulgence envers soi-même, une pointe de paresse lentement dégustée et.. un quintal d’imagination.
I managed to settle this problem.