J’avais aimé « Un mariage anglais », alors je fonce avec ce roman au superbe titre et magnifique couverture.
Au fond de son lit d’hôpital Frances se remémore l’été qu’elle passa dans la propriété de Lyntons. Elle avait alors 39 ans, sa mère acariâtre venait de mourir. Frances sauta sur l’opportunité : un riche américain lui demande de faire l’inventaire du jardin de la propriété qu’il venait d’acquérir. Peter et Cara habitent également sur place, un couple atypique.
Dans sa chambre, elle va découvrir un judas dans le plancher qui lui donne une vue imprenable sur leur salle de bain…
Au début, l’auteur essaie d’instaurer un certain suspense avec un jeu de flashbacks.. Mais c’est lent, lent.. C’est malaisant, dérangeant, glauque.. Impossible de rentrer dans l’histoire..
Voyeurisme, désirs refoulés, mensonges… tout est délétère…et a eu raison de mon enthousiasme.
Je me dis qu’après la lecture de 𝐋𝐞ç𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐈𝐚𝐧 𝐌𝐜 𝐄𝐰𝐚𝐧, ce n’est pas facile ? J’abandonne rarement, je n’ai même pas eu envie de lire en diagonale…Je suis passée complètement à côté de ce roman. Peut-être suis-je restée insensible aux émotions, aux sentiments ? Et ma malle-à-lire déborde de livres que je suis impatiente de lire….
Connaissez-vous ce roman ?
L’été des oranges amères de Claire Fuller
416 p – 2020 – Stock
J’étais allé jusqu’au bout, mais j’avais préféré de loin Un mariage anglais.
ah oui ce n’est pas mon préféré, même s’il est de bonne facture ! pas de coup de coeur littéraire de Hamnet ou Le portrait de mariage !