J’avais apprécié l’ironie mordante dans 𝐋𝐞𝐬 𝐛𝐨𝐮𝐫𝐠𝐞𝐨𝐢𝐬𝐞𝐬, recueil paru en 2021.
Dans, 𝐍𝐮𝐢𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐜𝐞𝐬 – son premier livre de 2010 – elle met en scène six couples, six mariages et six nuits de noces. Et six façons bien différentes de vivre cette étape…
Ici, on s’oriente plus vers le drame que vers le bonheur ! Rien ne se passe comme prévu ! Ah non… C’est glauque, froid, sans frissons érotiques, ni sensualité. De plus, Les hommes ne sont pas dépeints à leur avantage…loin s’en faut.
La dernière nouvelle, ᴍᴏɴ ʟᴀᴘɪɴ remarquable de cruauté et de misère, a retenu mon attention avec ses airs de Maupassant.
Même si j’ai souri à certaines situations plutôt cocasses, cette lecture m’a mise mal à l’aise… on sent la plume très ironique, cynique et coupante d’Astrid Liard. Rien à voir du tout avec 𝑺𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒑𝒍𝒂𝒈𝒆 𝒅𝒆 𝑪𝒉𝒆𝒔𝒊𝒍 𝒅𝒆 𝑰𝒂𝒏 𝑴𝒄𝑬𝒘𝒂𝒏 … Absolument rien. J’ai eu l’impression désagréable que l’auteure chargeait un peu trop la dose, qu’elle en rajoutait… Trop, c’est trop !
L’écriture est tout de même plaisante, on sent le style en devenir de cette auteure.
Nonobstant, ce sera une lecture que je vais vite oublier…
Nuits de noces de Astrid Éliard
152 p – 2010 – Mercure de France
Je ne note pas ce titre, au vue de ton ressenti.
oui c’est vrai que cette lecture n’apporte que peu de choses